Renaissance de l'Aube - Aurora



 


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Renaissance de l'Aube - Aurora

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Aurora S. Bishop
Aurora S. Bishop
Âge : 16 ans.
Sang : Sang-Mêlé.
Nationalité : Anglo-Galloise.
Patronus : Goéland.
Épouvantard : L'image de sa mère qui s'éloigne de plus en plus, à mesure qu'elle tend son bras vers elle.
Reflet du Riséd : Elle, couronnée du succès de ses produits au beau milieu d'une superbe boutique dont elle est propriétaire, sa mère à ses côtés.
Baguette : 26,2 centimètres, bois de cornouiller et crin de licorne. Flexible.
Avatar : Ana de Armas
Messages : 38
Double-Compte : Belladone / Desiderata / Minerva / Solveig
Date d'inscription : 27/10/2020

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MessageSujet: Renaissance de l'Aube - Aurora  Renaissance de l'Aube - Aurora Icon_minitimeMar 27 Oct - 11:50



Aurora Sybil Bishop

« Renaissance de l'Aube »


FT. ANA DE ARMAS
CARTE D'IDENTITÉ


Nom : Bishop.
Prénom(s) : Aurora Sybil.
Âge : 16 ans.
Groupe/Maison : Poufsouffle.
Poste/Année : 6ème année.

Sang : Sang-Mêlé.
Nationalité : Anglo-Galloise.
Lieu de naissance : Bristol, Angleterre.
Date de naissance : 16 Août 1926.
Orientation Sexuelle : Bisexuelle qui s’ignore.

Jolie petite histoire...

Le satin blanc claque au vent qui s’égosille. Obédience humble à la fureur des éléments ou révérence extasiée à l’assourdissant tumulte des caprices d’une nature indomptable ? Aurora s’engouffre sans rien dire au creux du tourbillon, s’immole à la frénésie du souffle aigre qui balaye le sable jaunâtre et ses grains qui virevoltent, s’unissent de concert aux cheveux épars qui folâtrent au creux de son dos. A la mélopée rageuse de la brise se mêle le tambour sirupeux des remous marins qui semblent chanter, inlassables, la litanie imperturbable de leur sempiternel va et vient. Et le claquètement des vaguelettes chuinte à ses oreilles lorsqu’elles viennent s’échouer, agoniser pour mourir sur la plage assaillie par le vent, étalant dans son trépas l’écume blanchâtre de ses crêtes qui, l’espace d’un instant, semblaient avoir dominé le monde. Entre les doigts transis par l’aigreur fulminante de la brise, le pan de satin rabattu volète toujours, expose sa fragilité extatique, immaculée, en sacrifice à l’ire vorace d’une douceur estivale qui se refuse à mourir. Aurora s’enivre de la danse fougueuse de la nature, s’y égare, se mêle de concert au tourbillon lascif des éléments déchaînés, tournoie au bord de l’eau d’encre dont elle savoure la morsure glacée avec un délice plein d’entrain. Le vent souffle plus fort, et elle rit, heureuse, légère, s’abreuvant des embruns de sel, dont les effluves maternels de cannelle viennent adoucir l’âpreté qui soufflètent les joues rosies de la progéniture chérie couvée d’un œil tendre.

La jolie montre de cuir brun indique minuit. Aurora hausse les épaules, l’insouciance de son jeune âge s’esquissant en un sourire mutin sur ses lèvres rebondies. Les minutes s’égrènent au rythme de son bonheur, filent et défilent sous ses yeux moqueurs, quand le temps et l’espace ne peuvent rien contre sa joie d’être à la maison, fut-ce pour quelques heures désormais, fut-ce pour une ultime nuit qui s’achèverait à peine ses yeux clos. La nuit peut bien la narguer à sa guise, quand Maman est assise près d’elle au creux du sable dont elles ignorent les gifles, quand l’index de la petite femme replète lui indique les formes incongrues que dessinent les innombrables étoiles, si loin qu’elles sont déjà mortes, peut-être. Et la trop légère Aurora s’esclaffe encore, se rit du tombeau de ces étoiles dont la lueur vient éclairer dans une grâce posthume sa dernière nuit. Mais la jeune fille ne fait pas aux cieux l’offense de se moquer. Le rire n’est pas goguenard. Il semble un murmure. Il vibre de son glas tendre, léger, trouble à peine la furie de l’été qui se meure dans le souffle du vent. Dans la gratitude de ce rire il y’a la pureté de l’aube, le triomphe timoré d’un matin de printemps, éclipse aux ténèbres mortifères d’un hiver trop long. ll y’a la renaissance de l’aurore qui succède à l’agonie d’une nuit sans fin, comme la promesse de jours nouveaux, comme l’espoir insensé que tout est possible, encore. Il y’a dans ce rire tout ce à quoi la jeunesse d’Aurora croit encore ; la fébrilité de la nature dans ce qu’elle a de plus éphémère et de plus extatique. Le chant frileux d’un rossignol aux premiers frimas de l’hiver, le bruissement des feuilles de cuivre et d’or que l’automne fait choir des chênes millénaires, et qui, dans un trépas docile, viennent se mourir à la limpidité des ruisseaux. Et lorsque le clairon tranquille de celui de sa mère se joint au sien, plus grave, ébréché, fêlé par les embûches de plusieurs automnes, alors Aurora s’égare dans l’abîme de cette mélodie incongrue qui résonne du passé et des desseins de ces deux femmes qui sont tout l’une pour l’autre.

Qu’attende donc le sommeil ! Le Poudlard Express accueillerait sans ciller les heures volées à leur dernière nuit, et il restera quelque chose de Maman dans les somptueux muffins aux myrtilles qu’elle mordrait pour le déjeuner. Leurs doigts et leurs joues transis s’échaufferont à la chaleur ronronnante de l’âtre, et le sempiternel plaid rayé, usé jusqu’à la corde, recueillera les miettes de scones et de tarte à la citrouille qu’elles dévoreront jusqu’aux premières lueurs de l’aube, avides, rendues voraces par l’air marin qui aura déposé sur leurs lèvres les embruns de sel dont elles dissiperont l’âcreté dans une tasse de chocolat. Aurora aura sans doute le temps d’appliquer un peu de sa lotion sur les cheveux de Maman, abîmés par le sel qui lui rongeait jusqu’aux racines et lui mortifiait la chevelure au point de n’en laisser qu’une crinière sèche, fourchue, cassée par le vent marin. Baptisée « Nutrivit », la lotion capillaire reste la première fierté de la coquette jeune fille qui s’est découvert, dans sa tendresse pour Maman, une passion insatiable et un talent certain, doublée d’une certitude dans ses desseins d’avenir, dans cet après-Poudlard qu’elle n’imagine pas sans elle. Et la trop légère, la passablement médiocre jeune fille s’est soudain prise d’application pour les cours de Potions et l’Astronomie, comprenant vite l’importance de la rigueur du maniement des ingrédients et de l’alignement des planètes dans la préparation de ses onguents et décoctions. Dans la pincée de poudre de pieuvre, touche finale ajoutée une nuit de pleine Lune à sa mixture de camomille, d’huile de lin et d’essence de rose résidait le secret farouche de sa plus glorieuse réussite, que les coquettes de Poudlard s’arrachaient, remplissant les poches d’Aurora de quelques mornilles qui s’échappaient comme une poignée de sable qui s’égrène au creux de ses doigts, dilapidées en rubans de soie, en robes de tulle et en ingrédients divers indispensables à ses nombreuses mixtures. Ingénieuse alliance de produits moldus et de ressources sorcières, les baumes pour le visage succèdent aux lotions capillaires, et, lorsqu’un simple « Impervius » laisse demeurer intact un maquillage appliqué avec soin à son visage de poupée, elle comprend aussi l’utilité des Sortilèges, matière à laquelle, pourtant, elle ne parvient pas à exceller.

Les études l’ennuient. La jeune fille de l’aube scintille des frimas chatoyants de l’aurore qui lui a offert son nom et sa lumière, et la poupée miroitante des matins d’hiver semble traîner sur son sillage cette lueur d’espoir au chatoiement d’or qui semble pouvoir percer la plus insondable des nuits. Elle ne rêve que chiffons et danse allègre, évaporée, distraite, s’abandonnant à la moindre caresse d’un rayon de soleil, s’enivrant du son d’une corde qui susurre une complainte ou fredonne une ôde à la vie. Amoureuse des sens, du monde et de la lumière, Aurora est gaie, trop pour les salles de classe, trop évaporée pour l’étude, trop vivante pour la compagnie des pages sèches, arides, qui hantent par milliers la bibliothèque aux étagères chancelantes d’énormes ouvrages poussiéreux dont les reliures ont vu défiler plus de décades que n’importe quel sorcier encore en vie.

La tristesse est vaine, et elle ne s’acharne pas dans le combat perdu d’avance contre l’aurore qui l’affronte d’un éclat de rire et d’un œil goguenard rivé sur le soleil. Elle comprend vite que le chagrin est vain, que ses griffes s’émoussent sur l’âme tranquille baignée de l’accalmie céleste dont la naissance lui a fait grâce. Vertu ou malédiction, Dame Nature donne ou dépouille au berceau les trop petites âmes qui peinent encore à voir le jour, scelle leur destin à l’aveugle, au gré de caprices hasardeux qui ne souffrent ni révolte ni blasphème. Despote implacable, elle distribue sans logique, ses longs doigts tendus au-dessus du monde, agitant à sa guise les innombrables fils de soie qui régissent la vie de ses pantins désarticulés, gardant l’inextricable écheveau au creux de sa paume avec une jalousie farouche. Bienfaitrice ou usurpatrice, nourrice ou marâtre, elle jette à l’aveugle l’opprobre ou la gloire au creux des couffins blancs, crache ou bénit à ces petits visages joufflus aux yeux écarquillés d’une vie qu’ils peinent encore à voir. Et s’il manquera toujours à Aurora cette intelligence scolaire qui lui font abhorrer les études, au moins ne souffrira-t-elle pas des mélancolies intarissables qui inondent les esprits plus profonds. Heureuse idiote disent certains, poupée jolie mais sotte, au moins le sort lui accorde la joie de vivre, et elle se complaît dans la simplicité de joies légères que le don de l’insouciance lui a accordé.

Beaucoup auraient été plus tristes qu’elle, pour Papa, quand Aurora n’a souvenance que des longs doigts qui s’agitaient avec une grâce agile, folâtre, sur le piano du quatuor de jazz dont son Moldu de père était le pianiste. Il n’y avait que les réminiscences de ses petits souliers qui claquaient sur le plancher de bois, battant la mesure avec la frénésie juvénile de son jeune âge, de sa petite jupe à plis jaunes qu’elle faisait tournoyer entre les tables des clients, de l’enfance encanaillée aux embruns âcres de tabac, aux baisers que donnaient les belles dames fardées aux messieurs en smoking, aux fonds de verre dans lesquels elle trempait les lèvres en cachette, plissant son petit nez sous l’âpreté du rhum, mais ravie de cette satisfaction d’enfant qui sait avoir goûté à quelque chose d’interdit. Et les effluves d’œufs frits, de bacon et de pancakes qui s’évaporaient de la cuisine, surprenant les quelques esseulés qui cuvaient là, et qui réveillaient la petite fille affamée, assoupie sur une banquette de cuir. Elle se souvient du regard de Papa, lorsqu’éreinté il lui a refusé une dernière chanson, et lorsque ses doigts malgré tout s’étaient surpris à voleter sur l’instrument, au gré de la déception furieuse de la fillette. Il n’est pas parti pour cela. Il savait déjà. Une autre femme, Maman a dit. Et la régularité des nouvelles s’est espacée au fil des mois, quand Aurora s’est surprise à s’en moquer. Maman a retrouvé son Pembrokeshire natal, la fillette dans ses valises, et son talent culinaire lui a valu la confiance de la Gazette du Sorcier, qui lui octroie la rédaction de la page entière dédiée aux recettes de cuisines. Lui est resté le vague sentiment que les hommes partaient, amertume qu’elle chassait d’un rire ou d’un revers de main. Elle s’est accoutumée à n’avoir besoin que de Maman, de la farine dans ses cheveux qui la vieillissait, de son tablier rouge qu’elle nouait autour de ses hanches larges, du sillon au coin de ses yeux lors qu’elle riait. Son centre de gravité dans cette petite femme qui sentait la cannelle et le pain chaud, et qui riait aux éclats lorsqu’elle lui plantait un baiser sonore sur la joue. Son alpha et son oméga, et qu’importait la lâcheté de Papa, quand la petite main de Maman l’attendait, inlassable, à chaque retour de train ? Cannelle, c’est le nom du tout petit hibou qu’elle lui a offert en première année, lorsque de grosses larmes ont perlé à ses yeux à l’idée que Poudlard l’arrachait de Maman. Hommage à son épice préférée, le petit animal étoffait un peu plus l’indestructible lien des deux femmes qui s’écrivaient avec une constance appliquée, se manquant toujours, heureuses mais incomplètes, scellant chaque vacances leurs retrouvailles émues par une affection consolidée. Papa pouvait bien partir aux oubliettes. L’affection maternelle s’exacerbait dans sa lâcheté. Qu’avait-elle besoin de celui qui avait préféré une autre à Maman, à elles deux ? Pas même une rancœur, pas même un vague à l’âme. Les jours heureux s’écoulaient maintenant, sans lui, mais avec tout ce qui comptait vraiment, au fond.

Spoiler:




CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT

Légère / Insouciante / Rêveuse / Ecervelée / Etourdie / Coquette / Superficielle / Bienveillante / Généreuse / Affectueuse.

Les bienveillants la disent étourdis, les plus méchants la traitent d’idiote. Peut-être ont-ils tous un peu raison. Trop léger pour la gravité, son esprit ne fait que survoler la rigidité de matières ancestrales, redondantes, dont les pages poussiéreuses rebutent la jeune écervelée avant même que ses doigts n’effleurent leurs couvertures antiques. La sinistre Bibliothèque est évitée comme la dragoncelle. Le monde est beau, et l’aube renaissante qui lui octroie son nom la voit dépérir au milieu de cette antre de pages mortes, décharnées, de ces matières qui lui font pencher un nez distrait dans un fatras de parchemins qu’elle ne comprend pas. Etourdie, insouciante, elle aime le souffle du vent et la caresse du soleil, se délecte de joie simples, dévoreuse de sucreries, adoratrice de thé à la cannelle et de confidences au coin du feu. Elle peut passer des heures à la confection de ses décoctions, à la recherche d’ingrédients à intégrer à ses mixtures, à l’essayer sur d’autres têtes que la sienne. Elle voit la beauté partout et chez tout le monde, dans les tréfonds de sa coquetterie bienveillante. Elle se plaît à embellir le monde et les autres, y trouve un plaisir profondément bon, révélateur de cette âme douce qui ne souhaite jamais de mal à personne. Et à ceux qui la traitent d’idiote elle se contente de hausser les épaules, chassant la blessure dont elle ne comprend la mesquinerie d’un revers de main, du don qui lui avait été fait au berceau de pouvoir balayer de son âme légère les cruautés des méchants. L’intelligence du cœur remplace la froide logique, la mémoire et la concentration qu’elle n’aura jamais, et dont elle se moque, au fond. Aurora aime le monde et les gens de toute sa petite tête de linotte et de son cœur immense, léger, même si beaucoup ne le méritent pas.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES

Poupée grâcile qui virevolte au vent d’Ecosse. Rubans de soie qui flottent sur son sillage, se mêlent aux longs cheveux qui retombent sur ses épaules à chacun de ses pas. Pans de satin qui claquent à ses chevilles blanches, mollesse des étoffes de tulle aux teintes délicates qui retombent sur cette taille fine encore, que la gourmandise alourdira plus tard, calquant l’apparence replète de l’aura maternelle qu’elle chérit. Une longue chevelure choyée mieux qu’un diamant qui repose dans son écrin, leur blondeur châtaigne éclairée d’un brin de miel cajôlée par la coquetterie extrême de l’adolescente. Des teintes qui ne font que changer au gré de ses humeurs et expérimentations, au travers de Sortilèges et de Potions auxquelles elle s’essaye. Regard à l’éclat mordoré d’une feuille de chêne tombée au vent d’automne, nervurée de de ces stries d’or qui parsèment ses prunelles au gré de ses réactions enthousiastes. Visage mutin encore arrondi par l’enfance qui se meurt un peu plus à chaque réveil, à l’ovale tendre, au sourire mutin sur des lèvres pleines de vie. Quelques tâches de rousseur, imperceptibles, presque, achèvent le portrait de l’adorable jeune fille qui se complaît dans les tréfonds de cette coquetterie douceâtre qui la surcharge de bijoux et d’étoffes délicates. Aurora entretient cet air fragile de charmante poupée de chiffon qui lui colle à la peau, ne laisse jamais rien au hasard, s’accommode mal de l’uniforme jaune et noir dont elle n’aime pas les couleurs et l’austérité. Jolie et charmeuse, rien, jamais, n’est laissé au hasard et elle prend un plaisir manifeste à se façonner une apparence qu’elle veut parfaite en toutes circonstances.

Dans la vrai vie, je suis...

Quel est ton pseudo ? FleurdeLys. Un mec ou une fille ? Une fille. Quel est ton âge ? Toujours 30 balais, j'adore 2020 russe. Comment as-tu connu le forum ? Les admins toujours browz. Un avis dessus : Renaissance de l'Aube - Aurora 4108797174 guedin As-tu un DC ? Belladone le gentil et Desiderata la vilaine. Code de validation : Dumbledore a été chassé de ce château par mon simple souvenir.

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MessageSujet: Re: Renaissance de l'Aube - Aurora  Renaissance de l'Aube - Aurora Icon_minitimeVen 30 Oct - 19:39

RERE-BIEVENUUUUUUUE.
Hâte de terroriser cette nouvelle élève. face



Félicitations, camarade !

« LE CHOIPEAUX A FAIT SON CHOIX ! »

Félicitations ! Vous venez d'être validé(e) sur Domus Pænitentis ! Nous vous souhaitons un bon jeu parmi nous et nous vous conseillons d'aller consulter les liens ci-dessous. Vous pouvez désormais RP, flooder et faire de nombreuses autres choses. N'hésitez pas à faire votre fiche de liens, ou encore celle des RPs ! Gardez aussi un œil sur les annonces et nouveautés! N'oubliez pas que vous avez à disposition un cadre de rp dans la Gestion ! Pour toutes questions, il y a la foire aux questions ici !

N'hésitez pas à demander de l'aide l'un des membres du staff si vous en ressentez le besoin. Bon jeu sur Domus !  
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