Minerva McGonagall - Eloge de la sagesse



 
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Minerva McGonagall - Eloge de la sagesse

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Minerva McGonagall
Minerva McGonagall
Âge : 32 ans.
Sang : Sang-Mêlé.
Nationalité : Ecossaise.
Patronus : Chat.
Baguette : Sapin et ventricule de dragon, 23,75 centimètres, rigide.
Avatar : Maggie Smith
Messages : 13
Double-Compte : Belladone le Gentil / Desiderata la Vilaine / Aurora la Simplette / Solveig la Pas Drôle / Albus le Dieu
Date d'inscription : 19/01/2021

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MessageSujet: Minerva McGonagall - Eloge de la sagesse  Minerva McGonagall - Eloge de la sagesse Icon_minitimeMar 19 Jan - 13:12



Minerva McGonagall

« Eloge de la Sagesse »


FT. Maggie Smith
CARTE D'IDENTITÉ


Nom : McGonagall.
Prénom(s) : Minerva.
Âge : 32 ans.
Groupe/Maison : Le Personnel.
Poste/Année : Professeur d'Arithmancie.

Sang : Sang-Mêlé. Père Moldu et Mère Sorcière.
Nationalité : Ecossaise.
Lieu de naissance : Invergarry, minuscule village des Highlands, qui compte une poignée d'habitants.
Date de naissance : 04 Octobre 1911.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.

Jolie petite histoire...

Réveil à la fière mélopée de la cornemuse paternelle. Embruns de thé chaud qui s’exhalent en volutes brunâtres de la tasse en épaisse faïence. Âcreté familière, rassurante, reflet de cette brume des lochs qui dépose son voile sur les immensités solitaires. Farouche hostilité de la pierre des châteaux en ruines qui se hissent à flanc de montagnes. Manteau de pluie et de bruine que revêt la plaine indomptable Immobile, elle verdoie quand le printemps s’en vient à grands pas, laisse le miracle de l’éclosion de milliers de chardons la tapisser. Enchevêtrements de ronces, d’orties et de branches nues dépouillées au vent d’automne, manteau d’ambre et d’or que foulent aux pieds l’hérésie des promeneurs. La nostalgie de la mère patrie est telle que la douleur devient presque physique. Du prestige du bureau ministériel aux prémices de l’éminente carrière qui se dessine sous ses pas, tout semble une enclave à Minerva. La plaque en lettres d’or qui semble narguer l’âme qui s’aventure, poing levé sur la porte de chêne. Cet encrier en cristal, ce service à thé en porcelaine, ce coupe-papier en argent et tous ces bibelots d’apparat ridicule dont l’austérité paternelle lui avait inculqué la futilité. Se surprend à rêver d’un bol de porridge réchauffé sur la pierre de l’âtre, dégusté un matin d’hiver sur une chaise en bois qu’elle aurait déplacé près des flammes crépitantes, un plaid de laine rayée sur les épaules. Se souvient de la pluie qui battait les carreaux, et du plaisir de ne pas la sentir lui tomber sur la tête ; du regard plein d’un délice triomphal sur le temps exécrable qui n’avait pas de prise sur l’austère mais joyeuse masure. Se sent plus seule que jamais, au milieu du dédain tranquille qu’inspirent les Moldus à toutes ces âmes sèches qui gravitent autour de sa jeune personne ; chaque raillerie, chaque insulte débitée de cette suffisante goguenarde semble une injure, une gifle, une tâche de boue à jetée à la face du père vénéré, et de Dougal, tant chéri encore que l’opprobre lancé d’une injustice tranquille la fait, chaque fois, inexorablement, frémir d’une indignation mutique qui la contraint à pincer les lèvres et à serrer les dents.

Minerva n’est pas femme à se taire. Elle part. Balaye d’un revers de main, du haut de ses vingt ans, le menton levé, la promotion prestigieuse, inespérée, que ce Ministère anti-Moldu lui offre sans sourciller. Fronce les sourcils à l’idée de voir s’étioler les jours, les semaines et les mois de sa vie au creux du marasme fangeux de cette capitale industrielle dont elle déteste tout, de ces regard vides qui peuplent les pavés humides de fange à ses toits acérés qui découpent un ciel gris fer qu’elle ne veut plus voir. L’absence des landes esseulées lui serre le cœur d’une poigne d’acier ce soir-là, mais sa main ne tremble pas lorsqu’elle brise le sceau de cire rouge à l’emblème de Poudlard qui cachète l’enveloppe. Accepte le poste de professeur d’Arithmancie et laisse derrière elle sans l’ombre d’un regard ou de remords le sillage d’or et de velours que le Ministère déroulait sous ses jeunes pas.

Le sourire d’Albus Dumbledore se joint à la brise cinglante pour saluer le retour à Poudlard de l’enfant d’Ecosse. Révérence douce-amère pour un retour qui semble une résurrection à Minerva. Que l’averse effroyable continue donc à cingler les vitraux de la Grande Salle ! Que le vent s’égosille tout son saoûl au dehors ! La pierre semble reconnaître l’âme de l’élève tombée amoureuse de l’école au premier regard. Et il y’a ce je-ne-sais-quoi, dans l’éclat d’azur pétillant derrière les lunettes en demi-lune, qui semble faire étinceler l’épouvantable ciel gris fer de ce jour-là, comme pour en étioler l’injure qu’il assène au retour de Minerva.

La colère des cieux tonne, et pourtant ! A l’entendre mugir ainsi, elle sait qu’elle est bel et bien de retour à la maison. L’hostilité du climat érige la fierté du peuple farouche, solitaire, qu’il ne peut pas briser. Et la fille de pasteur ne craint ni vent, ni pluie, ni dureté du travail d’aucune sorte. Pudeur énamourée pour la figure paternelle dont elle adopte le reflet des adages pastoraux inculqués. Assume son poste avec une sévérité implacable, que tempère son inextinguible soif de justice et d’impartialité. Et l’Arithmancie a beau être à son image, la Métamorphose reste et demeurera son premier amour, affection indéfectible pour cette branche la plus belle, la plus savante et la plus complexe de tout cet incalculable enchevêtrement de magies différentes. Y voue presque un culte, et trouve en la personne de Dumbledore son plus formidable adepte. Elle n’en tirera nulle jalousie cependant, son immense sagesse préférant s’abreuver à l’intarissable source du mentor bienveillant qu’il avait été, plutôt que s’acharner à devancer des pas qui iraient toujours plus vite qu’elle.

Du talent, Minerva n’en manque pourtant pas. Sorcière exceptionnelle, scolarité au sillage étincelant de diplômes obtenus haut la main, de prix et récompenses raflés à la force de sa baguette et à la constance du labeur acharné qui, à l’instar de son père, semblent devenu son propre adage. Il y’avait les sorciers d’exception, et puis Dumbledore. Et Minerva avait préféré la stimulation à l’humiliation. Sa sagesse, son bon sens et sa modestie auront payé. Sous l’autorité professorale d’Albus Dumbledore, Minerva acquière l’exceptionnelle faculté de se transformer en chat tigré à volonté, devenant là l’un des sept Animagi déclarés et répertoriés par le Registre du Ministère.

Le retour à Poudlard, à l’aube de ses vingt ans, voit naître entre Albus et Minerva l’avènement d’une longue, solide et profonde amitié que les années consolideront à l’instar du ciment frais comblant les interstices d’une bâtisse nouvelle, vouée à demeurer invincible. Les cendres, les larmes et les braises d’espoirs avortés seront pourtant l’étincelle primaire, le premier crépitement de ce brasier tranquille que deviendra leur sincère et constante affection. Cynique paradoxe d’une existence qui se jouait des destins d’une main leste, frivole, maniant à sa guise les fils reliant les poupées de chiffons qui gisaient ici-bas, soumis à l’impitoyable loi du hasard. Car il aura fallu que cette maudite lettre lui brise le cœur, pour qu’enfin les masques tombent, et que se dévoile au regard pétillant la douleur commune des larmes dissimulées sous la roideur de pierre de l’une et la bienveillance espiègle de l’autre. Il aura bien fallu que le hasard guide le pas mutin de Dumbledore au creux de cette salle de classe, à la seconde même ou les doigts s’étaient crispés sur le papier terrible, lui infligeant l’écho de la flétrissure qu’elle porterait au cœur, désormais.

Minerva se souvenait avoir entendu le pas léger se rapprocher sans mot dire, se mêler, dans une alliance discrète, au bruissement du papier crisser sous la fermeté balbutiante de ses doigts. Elle se souvenait avoir pour la première fois vu s’éteindre la lueur de facétie au creux du regard d’azur pétillant. Elle se souvenait de cette main qui avait redressé les lunettes en demi-lune sur son nez aquilin, de cette posture nonchalante, à demi-assis sur un angle de bureau, qui aurait paru la dernière des inconvenances chez n’importe qui d’autre. Elle se souvenait de la seule fois de sa jeune vie ou elle n’avait pas songé à ravaler ses larmes, où la source qui semblait gelée, tarie, avait brisé les digues érigées avec tant de soin, dans la destruction fracassante de tous ces dogmes de bienséance, de pudeur et de dignité farouche dont elle s’était fait une maxime. Il avait écouté sans mot dire la banalité à pleurer du récit du fermier Moldu qui s’agenouille au milieu du champ paternel ; la demande refusée sans motif explicite, l’anéantissement de l’un et l’autre, sacrifiés sur l’autel d’une Sorcellerie surannée et méfiante qui se refuse à se révéler au monde des Moldus, dont l’effroi a fait trop de mal. Ecoute encore les lamentations égoïstes de celle qui était partie, pourtant, et qui s’octroie le droit de s’effondrer lorsque l’abandonné s’offre la chance légitime d’une nouvelle vie.

Elle s’était attendu à de brèves paroles compatissantes. Une maigre consolation teintée de l’indifférence d’un collègue et ancien mentor pour les peines de cœur de la jeune recrue. Peut-être un tapotement de la main sur l’épaule. Rien de tout cela. Dumbledore avait redressé ses lunettes en demi-lune sur son nez, encore. Et puis il avait parlé. Voix tranquille, assurée, au détachement nonchalant, presque apathique, qui s’égrenait avec une gravité sinistre au creux la classe vide. Les mots terribles qui se répercutaient contre la pierre, éructés du même ton placide à faire froid dans le dos. La tragédie monstrueuse des Dumbledore, exhalé par le souffle impassible qui murmurait presque, dans un récit tranquille, les atrocités innommables qui s’étaient enchevêtrés à ses pieds à l’aube de sa jeune vie. L’agression de la douce et blonde benjamine. Le traumatisme incurable. La vengeance du père. Azkaban. La mort de tous, la subsistance des deux seuls rescapés de naufrage auquel le malheur semblait avoir arraché le lien commun. Abominable passé tu à tous, révélé à elle, funeste berceau pour l’indéfectible affection qu’ils auront vu naître, ce jour-là. Sans doute Minerva avait-elle commencé à l’aimer à cette seconde-là. Elle le comprendrait beaucoup plus tard, cependant. Les flammes dévorantes de la passion vite étouffées par la fraîcheur d’une sagesse pleine d’une dignité farouche. La renonciation qui avait duré à peine le temps d’un éclair de douleur fulgurant, aveuglant, éclipsé par cette affection qu’il lui offrait là, et dont elle s’était résignée à se contenter.

Douze années d’un long fleuve tranquille, à se découvrir chaque seconde cet amour subsister et persister, la cruauté du gouffre aux crocs béants lui crevant l’âme à ses débuts, comblée désormais par la constance d’un quotidien d’affection paisible. Une longue mélancolie résignée l’accompagnait désormais, symphonie langoureuse sur son sillage auquel elle tâchait de se rendre sourde, consciente de la place de privilège qu’il lui avait attitrée, déjà, au rang de ses trop rares amis. Accepte ses fantaisies qu’elle réprouverait d’un froncement de sourcils chez n’importe qui d’autre. Ne s’embarrasse guère de préambules lorsqu’il lui faut désapprouver des agissements sur lesquels elle ne peut pas fermer les yeux. Libérer Grindelwald ? A Poudlard ? Offrir en pâture des centaines d’élèves à la vindicte assoiffée de rage et de sang du mage noir le plus criminel de son temps ? Le grand Albus Dumbledore aurait-il fini par perdre irrémédiablement l’esprit ? Et pourtant, il n’y eut rien à faire, ni rien à dire. Dumbledore s’était fermé comme une huître, et le sujet Grindelwald ne semblait devoir souffrir aucune réplique, aucune contradiction, aucun bon sens quel qu’il soit. Sous le soleil mourant de l’été 1942 qui tirait à sa fin, Minerva observait sans mot dire, un pressentiment funeste au cœur, l’ombre polaire du plus terrible mage noir de son temps investir de son pas tragique la plus prestigieuse école de Sorcellerie du monde, sur le seuil duquel Albus Dumbledore lui-même l’avait invité.

Anecdotes :
Parvient à se transformer en chat tigré à volonté grâce à la tutelle d'Albus Dumbledore, et, de fait, devient un des 7 Animagus officiellement recensés par le Ministère de la Magie. / Duelliste très douée. / Excellente joueuse de Quidditch avant une mauvaise chute en septième année, qui entraînera une commotion cérébrale et un arrêt de l'exercice de ce sport. / Reste une fervente supporter de l'équipe des Gryffondor. / Supporte l'équipe écossaise des Pies de Montrose. / A obtenu les meilleures notes de sa promotion lors de sa dernière année d'études. / Lauréate du prix du Meilleur Jeune Espoir décerné par le Mensuel de la Métamorphose.

CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT

Education pastorale Moldue aux farouches embruns des lochs. Fierté dans la rudesse propre à l’opiniâtreté des fils de tribus légendaires qui peuplent les vallons verdoyants des Highlands. Pudeur dans l’affection, dont la distante austérité ne diminue pas la véracité et la profondeur. Ils sont aveugles, ceux qui croient Minerva incapables d’aimer. Et ils sont idiots, ceux qui lui prêtent un cœur de pierre. L’armure se revêt bien pour préserver quelque chose d’existant. Les préceptes pastoraux inculqués depuis la prime jeunesse ont mis en exergue la valeur des sentiments et le risque à les étaler ainsi, à la vue de tous, dans la vulgaire crudité d’une exhibition qui en amoindrissait le prix. Et si ses sourires se font rares, dans la rigidité tenace qui semble roidir le moindre de ses traits, ils restent d’une honnêteté infaillible, et dévoilent là l’affection véritable qu’elle voue à son destinataire. Bienheureux ses rares amis, parce que sa loyauté se drape d’une constance infaillible et d’un courage méritoire dans l’affection. Gare à ceux qui s’aviseraient à l’injure d’un de ces privilégiés triés sur le volet. Car la constance dans ces inimitiés restera au moins aussi tenace que dans ses affections. Semble incorruptible pourtant, indéniable qualité d’un Professeur qui, jamais, ne favorisera sa Maison pour laquelle elle voue une tendresse particulière et qu’elle supporte avec vigueur lors des tournois de Quidditch. Ne rechignera jamais à leur ôter des rubis du sablier des Gryffondor si elle en estime le mérite. Fair-Play, accepte stoïquement la défaite lorsqu’elle est vaincue sans tricherie ni malhonnêteté. S’agace de la paresse et des lamentations perpétuelles de ceux qui vivent la larme à l’œil. Exècre la lâcheté, la déloyauté et l’hypocrisie, se montre implacable et tourne définitivement le dos une fois sa confiance émoussée. Rigidité de fer loin d’être dénuée d’affection, elle se montre un Professeur à la dure réputation mais à la justice infaillible, qu’aucun élève ne peut contester. Elle se révèle de fait un excellent Professeur qui prend un réel plaisir à enseigner, le bourreau de travail et la passionnée de Métamorphoses qu’elle est n’hésitant pas à soulager Dumbledore de ses copies, lui laissant libre cours à ses officieuses activités de Directeur que Dippet n’assumaient plus depuis longtemps. Respectée de tous les élèves, aimée par les plus studieux, Poudlard est désormais sa place et, plus que jamais depuis son retour, elle s’y sent chez elle.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES

La farouche ténacité et l’austère rigueur qui caractérisent la jeune femme semblent avoir façonné une apparence vieillie par l’intransigeance qui s’en exhale. La haute stature est fine, mais l’ossature se révèle solide sous les longues robes de sorcière. La vigueur physique et la poigne d’acier de Minerva ne sont pas à sous-estimer, et ajoutent un atout non négligeable à son talent de duelliste particulièrement douée. Ses longs cheveux d’un noir de jais perpétuellement emprisonnés dans un chignon serré en exacerbe l’austérité, tandis que, perçant derrière des lunettes carrées, de grands yeux verts non exempts d’une sévérité certaine qui imposait le respect à plusieurs générations d’élèves. La finesse des lèvres est accentuée par leur pincement réprobateur quasi coutumier, et sa haute stature est rehaussée encore par les classiques chapeaux pointus propres à la mode sorcière. Les tenues conservent l’austérité qui s’exhale de toute la personne de Minerva. Longues robes de sorcière noires ou verts émeraude, capes de laine en tartan et mise dépouillée de toute fanfreluche ou ornement d’apparât. Coquetterie réduite au minimum par les principes pastoraux inculqués depuis l’enfance, Minerva porte parfois un fermoir de cape, une broche et une montre pour seuls bijoux. Non dénuée d’un certain charme, elle n’est pourtant pas de celles que l’on regarde d’ordinaire, l’époque se complaisant plutôt à l’adoration de la féminité dans toute sa splendeur, des longs cheveux dénoués, des grands yeux tendres et des formes douces et pleines de volupté. Se moque plutôt de ces aspirations à devenir jolie, préfère consacrer son temps à de plus profondes réflexions et à un travail enrichissant. N’a guère de prédispositions pour la coquetterie et se satisfait d’un silhouette en bonne forme physique, pourvu qu’elle impose le respect.

Dans la vrai vie, je suis...

Quel est ton pseudo ? FleurdeLys. Un mec ou une fille ? Une fille. Quel est ton âge ? Toujours 30 balais.  sad  Comment as-tu connu le forum ? Une certaine élève aux grands yeux m'a montré le chemin  huhu  Un avis dessus :  gunz  hullo As-tu un DC ? Belladone le Gentil / Desiderata la Vilaine / Aurora la Simplette. On arrête de me tenter maintenant ça devient n'importe quoi là  NO Code de validation : Dumbledore a été chassé de ce château par mon simple souvenir.

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MessageSujet: Re: Minerva McGonagall - Eloge de la sagesse  Minerva McGonagall - Eloge de la sagesse Icon_minitimeVen 22 Jan - 14:43

Que vois-je ? Je ne t'avais pas souhaité la re-re-bienvenue ? NO Et bien re-re-bienvenue chère collègue. Hâte de te casser les pieds. hihi



Félicitations, camarade !

« LE CHOIPEAUX A FAIT SON CHOIX ! »

Félicitations ! Vous venez d'être validé(e) sur Domus Pænitentis ! Nous vous souhaitons un bon jeu parmi nous et nous vous conseillons d'aller consulter les liens ci-dessous. Vous pouvez désormais RP, flooder et faire de nombreuses autres choses. N'hésitez pas à faire votre fiche de liens, ou encore celle des RPs ! Gardez aussi un œil sur les annonces et nouveautés! N'oubliez pas que vous avez à disposition un cadre de rp dans la Gestion ! Pour toutes questions, il y a la foire aux questions ici !

N'hésitez pas à demander de l'aide l'un des membres du staff si vous en ressentez le besoin. Bon jeu sur Domus !
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