L'Affaire Asbjornsen - Page 2



 
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L'Affaire Asbjornsen

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Kanaeko Hantsuki
Kanaeko Hantsuki
Âge : 17ans
Sang : Sang-Mêlée
Nationalité : Américaine
Patronus : Antilope
Épouvantard : La personne qu'elle apprécie le plus au monde agoniser et lui reprocher de l'avoir abandonner.
Reflet du Riséd : Elle-même, tenant un bébé dans ses bras, une épouse à ses côtés .
Baguette : Bois d'acacia et plume de phénix
Avatar : Hannah John-Kamen
Messages : 227
Double-Compte : Myrtle E. Warren // Horace Slughorn // Magdalena O'Gerthy
Date d'inscription : 27/07/2019
Âge IRL : 31

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MessageSujet: Re: L'Affaire Asbjornsen  L'Affaire Asbjornsen - Page 2 Icon_minitimeLun 25 Avr - 19:47

Chapitre 10

La Pensine du Ministre


Bureau du Ministre de la Magie, Ministère de la magie, Londres
03 Septembre 1960
13h

Kanaeko suivit Lavande jusqu’à son bureau. Elle n’osait trop y pénétrer en temps normal, même si l’actuelle Ministre était une de ses plus vieilles amies. Le bureau était richement décoré aux couleurs or, vert, blanc, noir et argent et somptueusement aménagé avec des divans et fauteuils aux tissus nobles. La pièce lui rappelait un peu la salle commune de Serpentard en un sens mais beaucoup plus lumineuse et beaucoup moins humide. Au bout de cette grande pièce siégeait un bureau en bois noir dont les pieds était sculpté en forme de Serpent. En parlant de Serpent, l’un d’eux était allongé non loin du bureau et releva la tête en entendant du bruit à l’entrée… Ce serpent était énorme, le plus gros que l’Auror ait jamais vu. Lavande siffla doucement dans sa direction. Kanaeko avait entendu dire que Lavande avait adopté un énorme serpent depuis peu, mais elle pensait que c’était là juste une image que ses détracteurs lui donnaient pour montrer du doigt le coté reptilien de l’ancienne Auror. La Ministre désigna le Serpent.

« Kanaeko, je te présente Nagini… C’est… Une amie. »

En regardant l’immense serpent vert, et plus précisément, en le regardant dans les yeux, la brunette vit dans son regard beaucoup d’intelligence… Plus que pour le commun des reptiles. Surtout lorsqu’elle lui dit :

« Enchanté, Nagini… »

… et que le serpent siffla comme pour lui répondre. Si les deux amies d’enfances n’étaient pas réunies dans ce bureau, cette créature aurait surement attisé, plus que de coutume, la curiosité de l’ancienne délinquante. Lavande parla à nouveau en fourche langue devant un mur et celui-ci s’ouvrit, découvrant quelque chose qui ressemblait à une coiffeuse sauf que, en guise de table, on y trouvait une sorte de bassine dans laquelle flottait un élément ni liquide, ni gazeux… Lavande tendit la main.

« Le souvenir, s’il te plait. »

Kana le lui tendit et Lavande qui, sans plus de cérémonie, le fit couler dans l’étrange bassine. Doucement, celle-ci s’éclaira et le souvenir s’afficha. Doucement, Kanaeko prit la main glacée de son amie d’enfance. Par reflexe, Lavande se raidit, la jeune Ministre n’appréciant pas tellement les contacts physiques. Mais l’Auror lui demanda sérieusement.

« Accompagne-moi… »

Un léger rictus éclaira le visage de Lavande.

« Cela va de soi. »

Et elles plongèrent toutes les deux dans le souvenir de leur mentor… Ce souvenir caché mais qu’il aurait surement souhaité qu’elles voient, toutes les trois.

Lavande et Kana se retrouvèrent, alors, sur une colline dans un pays qui n’était, surement, pas l’Angleterre… Mais le paysage leur était vaguement familier. Toutes deux étaient déjà venue ici. En face d’elle, un homme d’une quarantaine d’année au front dégarni parlait avec son fils. Fils que Kanaeko ne put que reconnaitre instantanément avec son œil blanc. Mais l’homme, qui devait être son père, lui ressemblait énormément avec le recul… Sauf que son expression du visage était d’une telle douceur, tellement pleine d’amour et de tendresse qu’il était difficile de se rendre compte à quel point père et fils se ressemblaient. Ce souvenir-là ne dura pas longtemps mais on pouvait y lire toute la douceur et l’amour de la relation entre le père et son fils… Rapidement, ce souvenir tourna sur ce même petite garçon, seul, mais qui fut recueilli par un châtelain… On pouvait croire que les choses iraient mieux pour le petit Grindelwald… Mais la violence suivi la suite de sa vie… Violence à l’école principalement. Moqué pour ses yeux, pour sa différence et… ses pouvoirs. Des insultes dans un langage inconnu… Jusqu’à son arrivée à Dumstrang.

Les souvenirs s’enchainèrent rapidement. Mais la violence semblait être au centre des souvenirs de celui qui allait devenir le mage noir le plus redouté de tous les temps. Kanaeko comprenait beaucoup trop ce jeune homme qui ne souhaitait que vivre tel qu’il était et étudier. Jusqu’au jour où un autre garçon de son dortoir le prix en grip et il en découla une grosse bagarre qui lui couta sa place au sein de la grande école de Scandinavie, chose qu’il ne fit pas sans y laisser graver, à jamais, ce qui deviendra son emblème : Le symbole des reliques de la mort. Tout cela à cause de sa… différence. Kanaeko serra les dents. Elle comprenait mieux les paroles de son mentor qui lui suppliait de ne jamais tomber dans l’excès et surement pas dans la magie noire… Il suffit d’emprunter une seule fois la mauvaise route pour ne jamais en revenir. Or, Grindelwald semblait avoir toujours été poussé de plus en plus loin sur la mauvaise route.

On en arrivait à sa première rencontre avec Albus Dumbledore. Tout cela avait commencé par une profonde amitié qui n’avait fait que se renforcer très vite en seulement quelques jours. Ce désir commun, cette même volonté de trouver les reliques et de changer le monde… puis ce fut la mort d’Ariana. Ce moment fut, néanmoins, censuré du souvenir comme si, au moment de l’extraire, Gellert ne voulait toujours pas que la vérité soit révélée, même à celles qu’il considérait comme ses filles… Kana avait toujours été persuadée que celui qui avait lancé le sort fatidique était Dumbledore… Mais qu’il était plus facile pour le couple que Grindelwald en prenne l’entière responsabilité, chose que l’Auror trouvait à la fois d’une grande bravoure et d’une grande lâcheté, pour les deux.  

S’en est suivi d’une descente aux enfers pour le mage noir… Jusqu’à ce qu’il ne vole une baguette à Gregorovitch… C’était la baguette que tous lui connaissaient. Kanaeko et Lavande échangèrent un regard. La question s’était toujours posée entre les proches de Grindelwald… Et s’il avait réussi ? Et si la baguette qui était dans la vitrine à l’entrée du ministère n’était autre que l’unique Baguette de Sureau ? Baguette la plus puissante au monde et une des trois reliques de la mort ?...

Mais pas le temps d’en discuter. Les souvenirs s’enchainèrent alors que Grindelwald s’élevait de plus en plus… Il se rapprocha de Vinda Rosier… Kana sentit son amie se tendre face à son ennemie de toujours… Vinda qui grimpait avec Grindelwald et qui chercha, à plusieurs reprises, de conquérir ses faveurs, en vain… On vit alors sa rencontre avec la mère de Kanaeko… Si jeune et si belle avec ses longs cheveux dorés qui vénérait littéralement le mage noir… Lorsque ce dernier fut capturé à New York, elle participa dans l’ombre à son évasion. C’était une espionne de haut vol, très douée en préparation de potions, un talent que sa fille ne lui connaissait pas. Cette dernière se rendit compte que, avec le temps, elle aurait pu gravir les échelons et devenir un de ses Généraux. Mais on arrivait à Paris, le jour où Grindelwald lui a gentiment demandé de retourner auprès de son bébé afin que celui si connaisse sa mère…

La suite, tout le monde la connait… Alors elle passa très vite. De sa chute à Azkaban, jusqu’à son arrivée à Poudlard… Ce qui était à la fois un calvaire et une promesse de rédemption. Il retrouva Albus, et on y vit les rencontres une à une… Celle de Lavande, puis de Kanaeko, puis de Sol… On y revoyait les meilleurs et les pires moments mais, là encore, cela passa assez rapidement car toutes étaient sensées s’en souvenir et être présentes. Mais on y voyait aussi ses moments de fierté et de bonheur… Lorsque Kanaeko, Solveig et Lavande furent admises. Trois femmes en une seule année, admises dans les rangs des Aurors, personne n’avait jamais connu cela avant… Une première en Grande Bretagne. Puis Solveig propulsée très jeune au rang de directrice, Lavande, élue Ministre de la Magie… Puis… l’arrivée de Voldemort et la découverte des Horcruxe. Ensemble, avec Albus Dumbledore, les deux sorciers paraissaient invincibles. Alors, avec le trio de la crème du ministère à leurs coté, vaincre ce nouveau Seigneur des Ténèbres semblaient facile… Qu’est ce qui avait pu mal tourner ?...

Le souvenir prit une tournure plus lente et… nous arrivions alors au temps réel où Albus parlait à Gellert et où les deux s’entretenaient de manière énergique.

« Non, Gellert… Nous n’avons pas à en venir à de tels extrémités. »

« Mais cela reste le moyen le plus raisonnable de le vaincre sans risquer d’y passer tous les deux… Nous savons ce qu’il en est. Je ne retrouverai jamais ma liberté et… après cela, je retournerai peut-être même à Azkaban car tu sais comme moi que Tom est la raison pour laquelle j’ai été libéré… Laisses moi, une fois dans ma vie, faire quelque chose de bien. »

Il fit une pause et caressa sa chicha.

« De toute manière… C’est déjà écrit. »

Il y eut un cour flashback d’une vision de l’ancien mage noir… Les deux sorciers faisaient face à un Tom Jedusor méconnaissable, au visage terriblement pâle et plus du tout séduisant… Un éclair vert fut envoyé par sa baguette… Mais, alors qu’il visait Dumbledore, Grindelwald s’interposa et le Directeur de Poudlard contre-attaqua au même moment. Comme un seul homme, les deux mages noirs s’effondrèrent et le souvenir s’acheva là-dessus. Kana était en colère mais ce n’était rien à côté de Lavande qui allait donner du poing contre la pensine… L’Auror prit doucement les poignets de son amie dans ses mains avant qu’elle ne fasse une bêtise… C’était un geste que la jeune femme avait appris à utiliser avec son amie, une marque d’affection et d’amitié. Ainsi, Kana pouvait lui montrer sa proximité et son soutien sans pour autant la gêner ou, du moins, un minimum. Elle avait surtout peur que, sous la colère, son obscurus ne se déchaine en plein Ministère et il y avait de quoi être en colère. Pourquoi leur montrer cela ? C’était tout sauf le moment !... A quoi avait pensé Grindelwald ?!

Nagini vient doucement glisser le long des jambes de son amie et vient l’enlacer doucement, se glissant en écharpe autour de son cou. Kanaeko eut un léger mouvement de recul, surprise… La présence du serpent semblait calmer Lavande, plus encore que la présence de Kana. La ministre s’assit doucement, caressant pensivement la tête du Serpent, réfléchissant… Encore une énigme. Kanaeko fit les cents pas.

« Il ne nous a surement pas montré tout cela pour le plaisir… ou pour écrire sa biographie… Alors pourquoi ?... »

Un silence s’installa alors que Lavande fini par relever la tête.

« La baguette de sureau est au ministère… »

Kana tourna la tête vers son amie.

« A seulement quelques étages et à la vue de tous… Depuis des années… »

« Sauf qu’elle appartenait à Grindelwald… Mais qui en est le propriétaire actuelle ?... »

*

Au même moment, quelques étages plus haut, Albus contemplait, justement, ladite baguette. Cette vitrine faisait la fierté d’un Ministère qui avait réussi là où tant d’autres avaient échoué à mettre la main sur le plus dangereux mage noir et à lui arracher sa baguette. Mais pour Dumbledore, c’était un lieu de recueillement… Le Directeur de Poudlard fini par s’éloigné de la vitrine et sortit du Ministère… Il s’arrêta finalement dans une ruelle vide et se retourna, un sourire bienfaisant aux lèvres.

« C’est malpoli de suivre quelqu’un de cette manière, Desiderata… »

En effet, tapi dans l’ombre, la mage noire était bien là… Elle fit un pas et retira son capuchon, dévoilant son visage d’ange rongé par la magie noire.

« Bonjour, Albus. Ça faisait longtemps. »




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Kanaeko Hantsuki
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MessageSujet: Re: L'Affaire Asbjornsen  L'Affaire Asbjornsen - Page 2 Icon_minitimeMar 14 Fév - 20:53

Chapitre 11

Magie Interdite


Extérieur du Ministère de la Magie, Centre-Ville de Londres
03 Septembre 1960
14h

Albus sourit paisiblement à Desiderata. Sur son visage, il n’y avait pas une once de méfiance, d’agressivité ou d’un quelconque sentiment négatif. Il restait fidèle à lui-même, un sourire bon sur le visage. A le voir, il faisait simplement face à une élève…

« Je suis heureux de te revoir… J’aimerais dire que la magie noire te réussi mais… ce serait mentir. »

Desiderata s’attendait à ce genre de comportement venant du vieux directeur et de l’ancien professeur de métamorphose. Mais il y avait toujours quelque chose de troublant dans son regard… Comme s’il perçait jusqu’à son âme et ça, elle ne le supportait pas.

« Et moi j’aimerais aussi te dire que je suis heureuse de te voir… Hélas, tu te doute que je ne suis pas là pour bavarder. »

Elle dégaina sa baguette avec dextérité et un sort de mort en sortit. Vieillissant, mais toujours particulièrement agile, Dumbledore esquiva, sa robe violette tournoya autour de lui alors qu’il dégainait à son tour sa baguette. S’en suivi un magnifique enchainement de sorts… Mais le vieux directeur craignait qu’un moldu innocent ne passe par là et se retrouve prit entre deux feux. Par chance, personne en vue. Alors, il déchaina un peu sa magie et son talent, réussissant à repousser son adversaire contre un mur à l’aide d’un Expulso bien placé. Dumbledore ne semblait pas en vouloir à sa vie. Desiderata tomba, genoux à terre, reprenant son souffle. Mais elle tenait toujours sa baguette dans sa main. Albus s’approcha doucement d’elle.

« Desiderata… Je ne veux pas te faire de mal. Tu n’es pas obligée de continuer à suivre cette voix, tu le sais ?... Rien ne t’oblige à choisir les forces du mal. S’il te plait… Poses ta baguette… viens avec moi… »

Mais Desiderata se mit à rire doucement.

« Vieux fou… Tu penses toujours être le plus fort, le plus sage… »

Elle se relève, le regard dément… Regard qui toucha Dumbledore au plus profond de son cœur car il l’avait connu alors qu’elle n’était qu’une enfant innocente et là, il ne lisait que folie. Mais la suite le perturba. Une seconde baguette apparu dans sa main gauche et, aussitôt, autour d’eux, la réalité sembla se fissurée, comme s’ils étaient entourés d’un gigantesque dome de verre, sans limite et sans bordure. Albus commençait à avoir peur…

« Cela ne se peut… »

Mais un sourire victorieux s’afficha sur les lèvres de Desiderata qui leva les mains au ciel, ses baguettes se figeant sur ses poignets… Les bâtiments qui les entouraient commencèrent à se rapprocher alors que le sol se levait sous les pieds de la jeune femme. Dumbledore voulu transplaner mais rien ne se produisit. Il couru alors, cherchant à échapper aux édifices, mais ils se resserrèrent d’un seul coup sur lui. Heureusement, en dehors du transplanage, il pouvait continuer à lancer des sortilèges. Albus lança un sort d’Elasticus et se retrouva en haut du bâtiment qui se mit alors à se plier sur lui-même… Le sorcier, heureusement à l’esprit très calme, fit sauter le toit et couru, essayant de suivre la logique des mouvements de cette réalité que Desirata refaçonnait à volonté pour le tuer. Mais il n’avait pas la possibilité de l’atteindre, pas sans transplaner. Cependant, il remarqua malgré tout que quelque chose brillait intensément à une des mains de la sorcière, sans comprendre de quoi il s’agissait ou ce que cela signifiait. Soudain, sa baguette lui fut arraché des mains par un lampadaire qui tentait de l’empaler et il s’écrasa au sol… En dernier recourt, il utilisa un sortilège de protection à main nues… Mais il sentait sa fin venir inexorablement.

Soudain il y eut une explosion non lui de lui. La vitre qui les entouraient sembla se briser et une autre magie, noire mais terriblement puissante qu’il ne connaissait que trop bien envahi la zone. C’était Kanaeko et Lavande. La ministre avait déchainé les pouvoirs de son obscurus et cela semblait créer un passage. Kana tendait la main au directeur qui la saisit et, tous ensemble, ils purent s’échapper. Derrière eux, la réalité se referma. Desiderata soupira et redescendit au niveau du sol. Elle ramassa la baguette de Dumbledore qui était restée là et joua avec en la tournant entre ses doigts, pensive.

« Tu as eu de la chance, l’ancêtre… Mais j’ai eu ce que je voulais. »



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