Solveig A. Asbjørnsen - Everybody hurts, sometimes



 
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Solveig A. Asbjørnsen - Everybody hurts, sometimes

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Solveig A. Asbjørnsen
Solveig A. Asbjørnsen
Âge : 18 ans.
Sang : Née-Moldue.
Nationalité : Norvégienne.
Patronus : Un loup.
Épouvantard : La silhouette de Grindelwald souriant, baguette pointée sur ses parents, une lumière verte jaillissant sur eux.
Reflet du Riséd : Le même jet de lumière verte qui a tué ses parents, mais qui s'extirpe de sa baguette à elle, frappant la poitrine de Grindelwald. Retour à l'envoyeur.
Baguette : 25 centimètres, bois de sorbier et ventricule de dragon.
Avatar : Anya Taylor-Joy
Messages : 26
Double-Compte : Belladone / Desiderata / Aurora / Minerva / Albus
Date d'inscription : 16/04/2021

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MessageSujet: Solveig A. Asbjørnsen - Everybody hurts, sometimes  Solveig A. Asbjørnsen - Everybody hurts, sometimes Icon_minitimeVen 16 Avr - 15:19



Solveig Anna Asbjørnsen

« Everybody hurts, sometimes »


FT. Anya Taylor-Joy
CARTE D'IDENTITÉ


Nom : Asbjørnsen.
Prénom(s) : Solveig Anna.
Âge : 18 ans.
Groupe/Maison : Serdaigle.
Poste/Année : 7ème année.

Sang : Née-Moldue.
Nationalité : Norvégienne.
Lieu de naissance : Svolvær, petite ville de l'archipel des îles Lofoten appartenant à la Norvège, situées au nord du cercle polaire.
Date de naissance : 18 décembre 1924.
Orientation Sexuelle : Bisexuelle.

Jolie petite histoire...


Septembre 1942

Les prunelles s’ouvrent, extatiques, hallucinées. L’éclat de lumière verte a disparu. Et pourtant, il semblait à Solveig qu’il avait nimbé de sa lueur horrifique le dortoir tout entier. Que les corps gisants de ses camarades s’assoupissaient un peu plus au creux de la léthargie doucereuse des chanceuses qui avaient encore le privilège de rêver. Mais non. La brume verdâtre paraissait n’avoir bercé que sa propre torpeur de cauchemar. Et, derrière les baldaquins de soie bleue sombre, les respirations bienheureuses poursuivaient leur symphonie tranquille, dans la béatitude d’un sommeil impassible aux maux qui arrachaient l’adolescente de ses apathies tourmentées. Soupir résigné quand la main blanche arrache les draps. Solveig n’est pas de ceux dont les pieds s’embourbent dans le marasme de leur existence, si fangeuse soit-elle.

Alors elle se lève. Ne sait rien faire de mieux que l’affront fait à l’opprobre d’un destin acharné qui avait l’outrecuidance de croire que sa nuque ploierait sous le joug de sa tyrannie. Dame Nature avait trouvé plus opiniâtre qu’elle, et Solveig était déjà debout, dans l’austérité spartiate de sa robe de coton châtaigne, la blondeur scandinave de ses longs cheveux noués en une tresse qui lui retombait au creux du dos. Sobriété pratique qui empiétait sur une coquetterie quasi inexistante jugée futile, alliance d’une perte de temps et d’une stupidité incroyable, mêlée d’un dédain à peine dissimulé envers ces spécimens de poules caqueteuses qui y gaspillaient d’innombrables heures et toutes leurs économies que, de toute façon, Solveig n’avait pas à dépenser. Bishop cristallisait cette crânerie dédaigneuse pour cette engeance de caqueteuses idiotes, y voyait là la reine de cette basse-cour braillarde qui virevoltait en essaim bourdonnant autour de ses oreilles avides de paix.

Sobriété qui frôle l’ascèse. Le rituel du petit-déjeuner est réglé comme du papier à musique. Et la magie avait beau imprégner chaque cœur et chaque pierre de l’édifice millénaire, la déconvenue de ne pas voir apparaître de saumon fumé sur la table nappée de bleu et de bronze était acceptée depuis six longues années désormais. Aussi dix minutes suffisaient-elles amplement à Solveig pour avaler sa tasse de café, son jus d’orange et ses deux tartines de fromage et de jambon. Se lève dans un sursaut décidé et un nuage de coton qui tournoie une seconde autour de ses chevilles, programme de révisions dominical savamment orchestré, après avoir gravi l’escalier en colimaçon jusqu’aux vertigineuses sphères de la volière, et user de messagers grâcieusement alloués par l’école pour envoyer sa lettre hebdomadaire à sa Moldue de petite sœur.

Hochement de tête d’une gravité solennelle vers la table des Serpentard, poupée brouillonne, comme désarticulée, une des rares à s’attabler de si bon matin un dimanche. Solveig et Lavande. Union farouche de deux avortons malingres, mus par la fureur de survivre malgré tout, alliance de crapauds orphelins dont la laideur de l’opprobre rehaussait le menton et le nez, face à toute cette plèbe bienheureuse qui voyaient supériorité là où elles deux savaient qu’ils n’avaient rien vu. Leurs pieds avaient pataugé dans la fange la plus crasse, et là même, dans l’opprobre d’une destinée qui avaient lacéré les espoirs primaires de leurs cœurs d’enfants, dans les stigmates indélébiles qui avaient flétri leurs âmes au printemps de leur vie, résidait leur primauté sur ce groupe de gosses stupides qui avaient cru asseoir la prétendue suprématie de leur bonheur juvénile sur cette résignation qui roidissait déjà la fierté des deux indigentes. Lavande, une des rares supportées par la fière scandinave, parce que les complaintes suppliées qui se seraient arrachées des lèvres de n’importe quel autre ne miroitaient que d’un éclat mutique, terni trop tôt, qui s’entrechoquaient au fond des yeux de marécage.

Chacune leur croix, et si celle de Lavande n’était pas des moindres, Solveig avait aussi la sienne à porter, écrasante, mais se refusant à la laisser lui ployer l’échine. Du fond de son placard, la fillette qu’elle était alors s’était souvenue de la lumière verte, aveuglante. Et des cris. Mais de ce symbole étrange, aussi. Sceau indélébile, gravé dans les tréfonds de la mémoire infantile au fer rouge, comme se rappelant là à une vengeance implacable, tardive, qui devenait par la contrainte le leitmotiv l’ambition sinistre d’une vie dévouée à son accomplissement. Longues années d’errance moldue à ne rien découvrir de ce sombre symbole auquel elle ne comprenait rien. Avant la révélation.

Eté 1935

L’élégance de l’homme était telle que les faux s’étaient arrêtées et que les marins plantés sur le port fixaient avec une curiosité éhontée cette drôle de silhouette pleine de prestance qui s’en allait, plein d’entrain et de certitude, toquer à la porte de la petite chaumière étriquée, offrant à la couturière interloquée un sourire tranquille et plein d’une bonhomie polie, tandis que ses yeux à elle s’écarquillaient sur la mise de l’énergumène qui paraissait trop heureux d’être là. Son Norvégien avait beau être parfait –tant et si bien qu’Ingvild le prit de prime abord pour un gars de la ville, de Trondheim, peut-être même d’Oslo-, le discours semblait si incongru, peuplé des chimères fantastiques d’un esprit divaguant au creux de l’écume d’une douce folie, que la tante de Solveig fronça d’abord les sourcils, l’air suspicieux d’abord, puis complètement interloqué.

Mais le pouvoir de séduction et de persuasion du Professeur ne furent pas seuls vainqueurs de ce rude combat qui fit admettre à la farouche paysanne l’irréfutable. Surtout les indéniables manifestations que les tuteurs de la petite sorcière en devenir n’avaient pas voulu voir, déni chrétien et cartésien d’âmes qui se protègent de quelque chose qu’ils ne peuvent comprendre. Et là, ce grand monsieur endimanché aux yeux taquins évacuait les sombres nuages, et à la lueur de son sourire, l’éclaircie révélait l’évidence. Les écheveaux de coton qui se rembobinaient tous seuls aux mains de la fillette, les feuilles d’automne qu’elle faisait tournoyer, danse de cuivre et d’or autour de son visage émerveillé. Et de la première fleur qui avait percé la terre gelée par un hiver trop long, à la simple impatience éructée par la fillette de six ans. Un signe de croix et un déni farouche suffisaient souvent à faire oublier à la pieuse paysanne ces manifestations chimériques qu’elle ne pouvait guère assimiler. Quant à son oncle Jørgen, son statut de seul médecin des environs et l’absence de ponts et de routes menant aux différentes îles, il vagabondait toujours par monts et par vaux, en bateau ou à bicyclette, pour avoir à se soucier de ce genre de sornettes de bonnes femmes auxquelles il ne croyait pas une seconde.

La petite partirait donc. Après de longues tergiversations. Aimée et bien traitée, certes, mais même la charité du couple Andersen ne pouvait rester insensible à la tentation d’une bouche en moins à nourrir. D’autant qu’ils avaient leur propre fille désormais, Elin, née six mois après avoir recueilli Solveig. Et puis, l’homme inspirait une confiance inexplicable, qui se passait de mots ou de preuves. Pourquoi si loin ? Avait tout de même questionné son oncle, le plus savant de la famille et qui, pourtant, ne pouvait guère se représenter les milliers de kilomètres qui le séparerait désormais de sa fille adoptive. Parce que Poudlard acceptait les élèves de son « origine ». Là-bas, perdu dans les landes glacées et solitaires d’un pays du Nord demeuré secret, se dissimule comme au cœur d’un écrin immaculé l’austérité slave d’une école, plus proche de géographie, de mœurs et de coutumes. Mais qui ne voulait pas d’elle. Poudlard acceptait les gens « comme elle ». La preuve, des messieurs en costume trois pièces qui aurait pu racheter la masure se déplaçaient pour venir les chercher.

1935 – 1942

Solveig ne connaîtra que trop vite cette prétendue suprématie de sang, ces chimères de primauté et de pureté d’une magie qui coulait dans les veines de ces dernières familles dont les vestiges incestueux se targuaient d’une quelconque souveraineté sur la farouche scandinave. Plus déterminée que jamais à briser leur sceptre de gloire illusoire, mensonger, la ténacité et le goût du travail de la jeune fille s’était abreuvé de cette haine et de ce dédain comme à une source, en avait puisé ce courage dont elle n’avait jamais manqué pour ne partir de rien et devenir une des meilleures d’entre tous.

Une plus grande détermination animait pourtant le cœur de la jeune fille. Les flammes d’un brasier dévorant, au creux de l’écrin d’un cœur de glace. Et, si elles ne parvenaient pas à la faire fondre, le désir de vengeance ne s’étiolait pas. S’exacerbait au fil des ans, tenace, inextinguible. Grindelwald. Durmstrang. Solveig avait pris soin d’écumer la bibliothèque et les librairies du Chemin de Traverse, après un apprentissage express et forcené de la langue anglaise qu’elle avait assimilé sans trop de difficultés, conservant malgré tout un accent à couper au couteau, comme un pied de nez, une insolence opiniâtre, fierté farouche de ses origines de paysanne scandinave dont elle ne voulait rien renier. Son statut d’élève modèle avait eu raison du Professeur Slughorn qui lui avait bien vite autorisé l’accès à la Réserve. Et là, elle avait extirpé de la poche de sa robe ce petit papier arraché à un carnet de commandes de sa couturière de tante. Ce triangle étrange, au creux duquel s’esquissait un cercle, fendu d’une ligne verticale. Avec la lumière verte, seule et unique réminiscence de cette nuit d’horreur dont elle ne se souvenait pas. Personne n’avait su dire de quoi ses parents étaient morts. Seulement d’une bande d’hommes accoutrés étrangement, des granges qui prenaient feu. De leurs rires grasseyants. Des injures éructées, au parfum d’alcool et de menaces. Et son oncle qui n’avait su établir aucun diagnostic. Les corps étaient intacts. Avait conclu à une crise cardiaque, tout simplement. Des hommes grossiers et en robes qui avaient provoqué des incendies, des pillages et des crises cardiaques massives. Plus personne, jamais, n’évoqua cette nuit-là.

Grindelwald. Le nom avait tourné et retourné. Des heures d’insomnie à ressasser le nom maudit, des heures à éplucher les coupures de journaux, à étudier chaque trait de l’arrogance blafarde de son visage qui s’animait sur le papier. Des heures à se figurer les raisons de son étrange reddition, à l’apogée de sa gloire funeste. Des heures à se demander ce qu’un sinistre mage tel que lui avait bien pu reprocher à deux paysans moldus de l’extrême nord de la Norvège. La vérité, pire que tout, implacable, s’imposait à ses yeux qui étaient trop fiers pour en réfuter l’horreur. Du plaisir. Sadisme d’une prétendue élite de mages qui se repaissait du bétail moldu pour assouvir leurs pulsions de crimes et d’effroi, comme pour mieux recharger les batteries avant de retourner à la solde de l’assassin Autrichien qui régissait le monde à cette époque. Solveig avait appris à oublier les « pourquoi ? » comme pour mieux se concentrer sur le bourreau terrible dont la main blafarde pourtant souillée par l’opprobre du sang versé l’avait contrainte à ne revoir l’unique dessein de son existence que par lui. Fascination sinistre pour le meurtrier envers lequel elle devait rassembler toutes les forces en son pouvoir pour parvenir à le vaincre un jour, fut-ce dans vingt, trente, ou quarante ans. Devoir. Comme un pacte scellé au berceau qu’elle n’avait pas réclamé, mais dont elle acceptait le dénouement inéluctable, contrainte et forcée par l’infâmie de ce mage qui avait lié son destin au sien, ne se doutant pas, sans doute, de la ténacité de la petite âme à laquelle il venait d’arracher les parents.
Spoiler:

CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT


Solitaire / Austère / Spartiate / Fière / Tenace / Sérieuse / Rancunière / Dénuée d’humour / Studieuse / Appliquée / Méthodique / Implacable / Loyale / Intelligente / Erudite / Farouche / Opiniâtre / Rigide / Combattive

Le portrait du tempérament de Solveig pouvait se résumer en une phrase. Elle serait la même à 80 ans. Ne pose qu’un regard de dédain sur les adolescents qui s’égayent et tourbillonnent de ces choses de la vie dont ils découvrent l’aube, quand elle semble déjà avoir découvert la ligne d’horizon, ce coucher de soleil d’une existence qui parait l’ennuyer, déjà. Les rires d’une jeunesse printanière qui s’égrènent au cœur de la salle commune l’importunent, vrillent ses oreilles de vieille femme à l’âme comme flétrie d’ans, déjà. Sourire rarissime offert au plus rarissime encore cercle élitiste de gens qu’elle aime, se ferme comme une huître aux tentatives d’humour qu’elle ne comprend pas, ne se complaît qu’à des tâches trop sérieuses ; l’étude, l’entraînement, l’accomplissement de sa vengeance future. Aurait aimé pouvoir s’entraîner à l’art du duel, mais c’est non sans une certaine ingratitude que Solveig jugeait Poudlard comme un écrin trop tendre, plein de complaisance pour la faiblesse, la fainéantise et les caprices en tout genre, en plus de les priver de branches de magie certes obscures mais ô combien fascinantes si utilisées sciemment ! Après avoir tant lu sur Durmstrang, la jeune scandinave élevée à la dure regrettait sans l’avoir connu l’austérité de l’édifice, et ce froid polaire au beau milieu duquel elle avait grandi, et les implacables châtiments de ceux qui, ici, paradaient en coqs braillards et trop peu soucieux du règlement. Peu avenante, solitaire, ils sont rares à s’y risquer désormais. Sa promotion n’avait que trop conscience de la rudesse de son caractère, préféraient l’éviter. Et cette forme d’accalmie, bien que teintée d’un rejet sciemment recherché, convenait parfaitement à la solitaire Norvégienne.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES

Comme une tige poussée trop vite à la pâleur du soleil polaire. Solveig est grande et trop mince, toute en os et en muscles qui saillent, poupée filiforme à la blancheur de lait de ces peuples couvés par le soleil de minuit. Une bouche en cœur, qui aurait pu paraître jolie si ses lèvres n’étaient pas toujours pincées par ce rictus de vieille femme qui l’aigrissait avant l’âge. De grands yeux bruns, en amande, forme exquise gâchée par ces prunelles quelque peu globuleuses accentuées par les pommettes qui saillent. Chevelure exquise en revanche, d’une blondeur presque blanche, cascade d’éclat de lune qui lui tombait jusqu’à la taille mais dont elle privait le monde de la lumière, les nouant trop souvent en chignon austère ou en tresse trop serrée. La simplicité à pleurer de ses ternes robes, trop cintrées à la taille, en faisaient qu’accentuer la pâleur de lait de son teint et la finesse de ses hanches. Beauté étrange, sur laquelle on se retournait sans s’éblouir, parce que c’était une drôle de fille que cette grande blonde qui ne souriait jamais, qui ne manquait pas d’un certain charme, atypique, qui pouvait rebuter ou effrayer, mais sur lequel parfois osait se poser un ou deux regards plus hardis que d’autres, que son indifférence de mégère avant l’heure ne remarquait même pas.  

Dans la vrai vie, je suis...

Quel est ton pseudo ? FleurdeLys. Un mec ou une fille ? Une fille. Quel est ton âge ? 30 ans. Comment as-tu connu le forum ?  J'le dirais pas.  huhu  browz  Un avis dessus : 5ème compte.  aah As-tu un DC ? *prends une grande inspiration* Belladone le choupinou, Desiderata la peste, Aurora la cruchette, Minerva la friendzonnée.  Solveig A. Asbjørnsen - Everybody hurts, sometimes 4108797174 Code de validation : Dumbledore a été chassé de ce château par mon simple souvenir.
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MessageSujet: Re: Solveig A. Asbjørnsen - Everybody hurts, sometimes  Solveig A. Asbjørnsen - Everybody hurts, sometimes Icon_minitimeJeu 22 Avr - 15:34

Re-re-re-re bienvenue, hâte de jouer, mais ce ne sont que des politesses et tu le sais *s'enfuit loin*



Félicitations, camarade !

« LE CHOIPEAUX A FAIT SON CHOIX ! »

Félicitations ! Vous venez d'être validé(e) sur Domus Pænitentis ! Nous vous souhaitons un bon jeu parmi nous et nous vous conseillons d'aller consulter les liens ci-dessous. Vous pouvez désormais RP, flooder et faire de nombreuses autres choses. N'hésitez pas à faire votre fiche de liens, ou encore celle des RPs ! Gardez aussi un œil sur les annonces et nouveautés! N'oubliez pas que vous avez à disposition un cadre de rp dans la Gestion ! Pour toutes questions, il y a la foire aux questions ici !

N'hésitez pas à demander de l'aide l'un des membres du staff si vous en ressentez le besoin. Bon jeu sur Domus !
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